Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

La quête du bonheur-Albatros

La quête du bonheur-Albatros
Visiteurs
Depuis la création 91
21 janvier 2012

Laëtitia, rien à dire si ce n'est que notre

335502_1939487403186_1122435041_31605932_2086439_o

Laëtitia, rien à dire si ce n'est que notre connerie est un bien précieux, même dans les plus mauvaises périodes une journée avec toi va me remonter le moral, je t'aime. "Mme De Saint Louvent"

Publicité
21 janvier 2012

Ophélie

226083_2221136339025_1566194400_2268109_6583781_n

Ophélie, l'année passée avec toi était géniale. Nos conneries mettaient littéralement du bonheur à ma vie. Je t'aime ma Courgette.

21 janvier 2012

Noémie

381785_2337545529698_1581677778_2273175_768496071_n    

Pandora "Don't be down my friend!" Je t'aime.

20 janvier 2012

Le monde s'effondre

Quand je regarde autour de moi je ne vois rien de bon, cette société dans laquelle nous vivons n’est pas faite pour le bonheur, les deux ne sont pas compatibles. Qui de nos jours est réellement heureux ? Bien peu de monde, trop peu de monde. Les jeunes sont le principal reflet de ce mal-être, cette génération fourmillant de stéréotypes tels que les drogués, qui sont devenus banals ou plus ou moins un phénomène de mode ; les filles qui couchent à tout va pour se prouver à  elles-mêmes et au reste du monde qu’elles sont libres et sûres d’elles alors qu’en réalité c’est tout autre chose ; les  tombeurs qui vont de filles en filles, brisent les cœurs, pour se prouver à eux-mêmes quelque chose, quoi donc ? Voilà notre avenir, rempli de gens perdus qui cherchent à se prouver que la vie vaut d’être vécu, peut-être ne le vaut elle pas après tout ? Qui nous a imposé le fait de rester en vie ? Nous sommes emprisonner dans une société individualiste et égoïste, la vérité est que je n’y trouve pas ma place, peut-être bien que personne n’y trouve tout à fait sa place mais je pense que pour certaines personnes telles que moi c’est d’autant plus difficile de rentrer dans le moule. Je désespère de plus en plus de jours en jours quand j’observe le monde dans lequel nous vivons, au plus je grandis au plus je veux juste régresser, je ne veux plus voir ça, voir ces gens, pour la plupart malsains qui ne pensent qu’à eux et à leur bien-être, je ne veux plus être la victime de ma gentillesse, qui est devenue un défaut ici. Ne pas s’inquiéter des autres est le meilleur moyen de survivre mais comment faire ? Cela me semble impossible, lorsque quelqu’un entre dans mon cœur il y reste à jamais pourquoi n’est-ce pas semblable pour le reste du monde ? Je ne prétends sûrement pas être unique mais tout du moins rare, oui je pense pouvoir m’accorder ça, jamais je n’ai blessé quelqu’un et si je l’ai fait j’ai tout de suite réparé la faute et m’en suis voulue à la seconde, le voilà le véritable problème, ce besoin que j’ai d’être en accord avec tout le monde, de m’entendre avec tout le monde, je ne peux supporter qu’on m’en veuille ou qu’on pense du mal de moi et pourtant cela doit forcément arriver dans une vie mais je n’aime pas, je veux juste ne décevoir personne, le mot juste n’est pas approprié je le sais bien, c’est une chose impossible et pourtant j’aimerais être la personne la plus parfaite possible dans le domaine de la gentillesse. Je vois le monde changer, je vois les gens changer, mes amis aussi, je suis parfois déçue, parfois heureuse pour eux, une chose est étrange est-ce parce que c’est moi que j’ai l’impression de ne pas changer ? Le problème de notre société aussi est que nous sommes d’éternels insatisfaits, rien ne nous va et nous n’y pouvons rien ; nos parents auront beau nous répéter qu’ils avaient mille fois plus de raisons d’être malheureux que nous, nous resterons là avec ce sentiment de vide, d’insatisfactions. Une seule chose met de la gaieté à notre existence, un seul sentiment, bien qu’il n’est pas réponse à tout parfois cela peut à la fois vous irradier de bonheur ou vous détruire, un mot : l’amour, comme c’est gnian-gnian, comme notre société est pathétique mais malheureusement de tout temps ce fut la triste vérité, l’amour décide d’une vie. Même si dans les moments les plus sombres il arrive que même l’amour ne sauve pas, un jour ou l’autre celui-ci revient forcément vous prendre, reste à savoir quand. J’ai cru pouvoir y échapper, j’ai eu tort mais je ne sais pas vraiment si je le regrette… Le bonheur est telle… La souffrance est telle… Les choses sont faites, j’ai aimé, j’ai souffert, et je ne peux regretter quand j’y pense posément. Pour en revenir à ce monde qui est de plus en plus superficiel et pathétique la preuve qu’il faut y remédier est sûrement le fait que le seul échappatoire que je vois moi-même et beaucoup de jeunes est le suicide, bien entendu comme la plupart je ne fais qu’y penser et sais me résonner seulement si nous sommes plusieurs à y penser cela prouve bel et bien qu’un malaise est présent et doit être remédier. 

                                                                                                                                                        L.M

20 janvier 2012

Il y a des précautions à prendre avant de s'attacher

Ne jamais faire part de ses souffrances, ne jamais s’attacher, ne jamais se permettre de pleurer voilà ce qui nous préserve des déceptions. Seul nous ne pouvons nous décevoir, peu importe que nous éprouvions des sentiments pour une personne en or la nature semble ainsi faite tout être humain digne de ce nom ce doit de faire souffrir l’autre qu’il le chérisse ou pas. 

                                                                                                                                                          L.M

Publicité
20 janvier 2012

"All we need is love "

Combien de fois faut-il que l’être humain souffre pour arrêter de s’attacher ? Comme la nature est mal faîte. On aime, en amitié ou amour, puis on en souffre, on se dit que c’est la dernière fois. On reste vigilant quelques temps puis on baisse la garde et tout recommence ; la durée de vigilance s’agrandit peut-être au fur et à mesure du nombre de souffrances éprouvées mais arrêtons nous un jour une bonne fois pour toute d’aimer et ainsi de souffrir ? Je ne pense pas la nature humaine est bête et visiblement masochiste. L’amour provoque une incroyable passion, un moment de pur bonheur, voir plusieurs si nous sommes chanceux mais combien sont les années de malheur que nous devons compter à oublier ce qu’on avait tant chéri auparavant ? Traître est cet amour qu’on nous promet d’être durable, on en voit énormément des personnes des rêves pleins les yeux, un avenir tout tracé et si seulement c’était vrai ? Pourquoi ne peut-on pas être heureux, amoureux, attaché à quelqu’un sans souffrir ? Cette façon de chérir les êtres proches de nous nous détruit mais il constitue aussi ce pourquoi nous restons en vie. Ainsi  ironie de la vie une personne se retrouvant sans personne à aimer, sans raison de souffrir par conséquent, n’a plus de raison de vivre. Bien que cette souffrance parfois soit telle qu’elle provoque aussi la mort. La conclusion est donc bien triste, nul n’est raison de fuir un jour ou l’autre nous mourrons d’amour de désamour ou pour les plus heureux de vieillesse cependant en ayant forcément souffert de cette boule au ventre, de ces tremblements et cette tristesse profonde qui s’empare de nous lorsque nous aimons.

                                                                                                                                             L.M 

Publicité
Publicité
La quête du bonheur-Albatros
Archives
Publicité